Covoiturage, sexe and sun
Covoiturage, sexe and sunC’est une recherche internet qui me mena sur ce forum où des personnes relataient de croustillantes expériences de covoiturage. Je me suis régalé en parcourant les rubriques, au point de finir par me masturber tellement certains récits étaient excitants. C’est aussi à cette occasion que j’appris qu’il existait des codes employés dans les messages, indiquant certaines dispositions, tant de la part des chauffeurs que de celle des voyageurs.« Ok violette », par exemple, signifie qu’une personne n’est pas opposée à ce qu’il y ait des contacts physiques au cours du voyage. Généralement, ce code est utilisé par les chauffeurs qui, lors des échanges écrits avec les futurs voyageurs, leur posent tout simplement la question :« Ok violette ? »D’autres noms de fleurs sont utilisés, selon les attirances sexuelles des intéressés. Le bouton d’or, par exemple, est employé par les hommes qui apprécient les hommes. Tout comme la rose est un code entre femmes.Une page Facebook semble être à l’origine de ce système d’échange qui s’est rapidement répandu. Sur le forum, je me souviens qu’un homme d’une quarantaine d’années racontait qu’à l’occasion d’un voyage de Rodez vers Limoges, il avait été contacté par une étudiante coréenne de 21 ans. A la question « Ok violette ? » au cours de leurs échanges de messages en privé, la fille avait répondu « Ok selon feeling. » Suite à cela, l’homme avait décidé de ne prendre que cette voyageuse sur son trajet. Il ne l’a pas regretté.Il racontait que le premier contact avait été une caresse de la cuisse de la fille, en roulant sur l’autoroute. Elle portait une jupe assez courte et ses cuisses étaient nues. Voyant qu’elle se laissait faire et qu’elle souriait, l’homme avait prolongé le geste jusqu’à ce que sa main atteigne la culotte. Là, la fille s’était cambrée pour retrousser sa jupe à sa taille et ouvrir les cuisses pour se laisser masturber. Cela avait duré plusieurs kilomètres, puis l’homme avait quitté l’autoroute pour se garer sur une aire.Il racontait la suite à peu près en ces termes :« J’ai rarement entendu une fille crier autant en se faisant baiser. Des cris très aiguës qui m’ont donné l’impression de sauter nevşehir escort une jeune adolescente. A un moment donné, un poids lourd a ralenti près de la voiture. Le chauffeur s’est rincé l’œil pendant plusieurs minutes. Ça n’a pas dérangé la fille. Ça ne m’a pas gêné non plus. J’ai rarement giclé autant sur une chatte. »Un autre homme, plus âgé il me semble, expliquait qu’il s’était tapé une femme mariée d’environ trente-cinq ans, sur le siège passager, en compagnie d’un étudiant qui se trouvait à l’arrière de la voiture. Sur une aire d’autoroute, la femme avait baissé son siège et elle avait sucé tour à tour le conducteur et l’étudiant, avant de se mettre à poil. La scène s’était terminée à l’extérieur de la voiture, dans l’herbe. L’homme écrivait :« Pendant que le jeune prenait cette salope en levrette, elle me suçait et je tripotais ses nichons qui se balançaient comme des mamelles. J’ai fini par éjaculer au fond de sa bouche, en matant la queue du jeune qui allait et venait entre les fesses de cette garce. Le sperme dégoulinait sur son menton quand je me suis retiré. Mais je bandais encore, alors j’ai attendu que le jeune décharge sur son cul pour la prendre à mon tour en levrette, sans capote. »Un autre membre du forum, qui devait avoir une cinquantaine d’années, racontait qu’il avait contacté un couple qui proposait un voyage Strasbourg-Paris. C’était la femme qui conduisait. Elle avait plus ou moins quarante-cinq ans, tout comme son mari qui, étonnamment, s’était installé à l’arrière. Ils n’étaient que trois sur ce trajet, et il n’avait été question d’aucun code dans les messages qu’ils avaient échangés sur Internet. Les choses se sont passées différemment, au fil de la discussion. L’homme avait remarqué dès le début que la femme ne portait pas de soutien-gorge sous sa chemise d’été un peu trop échancrée. Il avait aussi noté qu’elle ne se souciait pas beaucoup que sa jupe courte soit à deux doigts de révéler sa culotte. Régulièrement, il lorgnait sur ses cuisses. Jusqu’à ce que le mari assis à l’arrière dise :« Ma femme et moi, nous apprécions la compagnie d’hommes seuls le temps d’un voyage. J’espère que ça ne vous choque pas ? »Le passager acıgöl escort avait répondu :« Je ne comprends pas… »Le mari avait alors été plus explicite :« Nous ne forçons jamais personne, évidemment, mais si vous avez envie de toucher ma femme pendant qu’elle conduit, ne vous gênez pas. »Le passager avait tardé à réagir. La femme n’avait pas dit un mot, elle lui avait juste adressé un bref regard, comme pour confirmer ce que son époux venait de lui dire. Puis il s’était décidé à répondre :« Je ne voudrais pas qu’il y ait de problème. »« Il n’y en aura aucun, avait répondu le mari qui était assis dans le dos du passager, ceinture de sécurité bouclée. Caressez-la, n’hésitez pas. Faites-vous plaisir, à moins que vous n’en ayez pas envie ? Peut-être qu’elle ne vous plait pas ? »« Si, bien sûr, elle est tout à fait charmante, avait dit le passager. Je suis juste très étonné, c’est tout. »« C’est vous qui décidez, avait ajouté le mari. On ne vous en voudra pas si vous préférez en rester là. Mais je vous le répète : j’aime que des inconnus touchent ma femme quand elle conduit. Et c’est réciproque, n’est-ce pas ma chérie ? »La femme avait jeté un œil dans son rétroviseur et répondu en souriant :« Oh que oui ! »Et l’homme avait fini par se décider.Il avait d’abord posé ses doigts sur la cuisse de la femme, doucement. Ensuite, il avait glissé une main dans l’ouverture de la chemise et caressé la base d’un sein, délicatement, puis le téton.Et la femme lui avait dit :« Déboutonnez-la, si vous voulez. »Il l’avait fait. Puis il avait ouvert les pans de la chemise pour exhiber les seins de la conductrice qui le jetait un regard de temps en temps. Il avait un peu mieux tripoté les deux superbes nichons bien fermes, puis il n’avait pas résisté à revenir aux cuisses et à la jupe si courte.L’homme avait écrit sur le forum :« Elle n’avait pas de culotte. Elle s’épilait au maillot et coupait ses poils très courts. Elle avait de grosses lèvres bien gonflées mais, puisqu’elle devait maintenir ses pieds sur les pédales, elle n’a pas pu écarter ses cuisses comme je l’aurais voulu. J’ai néanmoins pu la branler un peu. Son mari suivait les gestes d’où avanos escort il était, sans plus dire un mot. C’est la femme qui s’est mise à parler à ce moment-là. Elle me disait des choses du genre : “Oui, comme ça, c’est bien… Branlez doucement, c’est bien…” J’ai continué, sans rien dire. Je suis remonté vers ses nichons et je l’ai encore masturbée, pendant au moins une demi-heure. Puis le mari m’a dit comme ça : “Avez-vous envie d’avoir une relation sexuelle avec ma femme ?” J’ai mis un petit moment à répondre, car la situation était décidément inattendue, puis j’ai fini par dire que ça ne déplairait pas, mais que je ne voulais pas qu’il y ait de problème. Et il n’y en a eu aucun. La femme s’est garée tout au bout d’une aire de repos et, tandis que son mari était sorti pour se rendre aux sanitaires publics, elle m’a sucé sur mon siège pendant que je malaxais ses nichons. Ensuite, on est sortis à notre tour et, en l’absence du mari qui a pris tout son temps, on a marché vers un petit sous-bois où on s’est déshabillés et allongés sur une grande serviette de bain. La femme s’est couchée sur le dos et a écarté ses cuisses en grand pour se caresser le clito en me disant : “Ne mettez pas de préservatif, si vous êtes d’accord. Mais il ne faudra pas le répéter à mon mari, il n’aime pas ça.” Je ne me suis pas fait prier. Mais je n’ai pas tenu bien longtemps. Une poignée de minutes. Ma queue était raide et mon gland était gonflé à bloc, alors j’ai dû éjaculer. Je me suis retiré de sa chatte et j’en ai mis partout, sur son ventre, dans ses petits poils et sur ses doigts. Le mari nous a fichu la paix pendant ce temps. A notre retour, il fumait une cigarette près de la voiture. Il m’a fait un clin d’œil et la femme est allée se nettoyer un peu dans les sanitaires. Nous étions à moins de cent kilomètres de notre destination. Un peu plus tard, sur l’autoroute, je n’ai pas pu m’empêcher de lui tripoter encore les seins et la chatte, tout en me branlant sur mon siège. Je me suis éjaculé sur le ventre après avoir remonté mon t-shirt. »Il faut absolument que j’essaye ce code : « Ok violette ? »Il y a de nombreuses conductrices qui proposent des trajets, dans toute la France. Ça ne coûte rien d’essayer. Et à l’inverse, je peux aussi proposer d’accueillir une passagère à bord de ma voiture. Ou pourquoi pas deux ? Deux violettes à la fois.Allez savoir…***Note importante : cette histoire de codes est une pure invention de ma part.
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