La gardienne d’immeuble 1
La gardienne d’immeuble 1Le sous-solCela faisait déjà un moment qu’il avait flashé sur la gardienne de son immeuble, plusieurs semaines.Une grande femme brune et mince de type métisse ou beurre, ne ressemblant en rien à l’archétype de la concierge.Belle, l’air fier, les cheveux noirs mi longs, les traits du visage réguliers, avec une expression toujours assez fermée et froide voir même sévère. Elle était un peu mystérieuse aussi ; semblant ne chercher aucun contact avec les résidents, jamais de bavardage, disant à peine bonjour ou bonsoir. Mais elle faisait son boulot, distribuant le courrier dans les boîtes aux lettres, nettoyant l’entrée et les cages d’escaliers, sortant les poubelles. Toutefois dès que son service était terminé, soit elle s’enfermait dans sa loge et ne répondait plus à aucune sollicitation pour quelque menu service que ce soit, soit elle était absente ce qui était son droit le plus absolu. Personne ne savait grand-chose d’elle. Elle avait été recommandée par le syndic de copropriété quand la place était vacante, sa candidature avait été retenue, et elle avait pris ses fonctions voici quelques mois.Cette femme le faisait fantasmer et il aurait aimé nouer le contact. Le soir, il se masturbait en pensant à elle, imaginant qu’il lui léchait la chatte avant de la baiser. Fantasmant sur ses pieds aussi car il était fétichiste.Un jour, alors qu’il était descendu au sous-sol pour aller à la cave, il était tombé, rangé dans un recoin, sur le chariot de matériel de nettoyage qu’elle utilisait pour faire le ménage des lieux communs. Des seaux, des balais, des gants, des produits, mais ce qui avait retenu son attention était surtout cette paire de mules avachie qui était rangée là avec ce matériel et qu’elle portait lorsqu’elle faisait le ménage.Il ne put s’empêcher de les prendre en main et de les examiner, sarıyer escort des mules en tissu rouge effrangé, noircies et usées par l’usage. L’intérieur était déchiré au niveau du talon. L’empreinte de son pied et des orteils, imprimée par la transpiration, était visible noircie. Reniflant l’intérieur de cette mule, une effluve acre vint lui chatouiller les papilles et il sentit immédiatement une érection lui venir.Après s’être assuré qu’il était seul dans ce sous-sol mal éclairé que la minuterie faisait régulièrement tomber dans le noir, Il sortit sa queue de sa braguette et commença à se masturber tout en gardant l’intérieur de la mule plaquée sur son nez. Sa puanteur l’excitait, il se voyait léchant les pieds de cette femme, reniflant leur odeur, suçant ses orteils un à un, léchant la plante odorante. Il se branlait avec frénésie et éjacula rapidement. Il remit tout en place et essuya de sa semelle le sperme tombé au sol. Puis il retourna à ses occupations.Content de cette trouvaille, il ne manquait pas de repenser à cet épisode lorsque les jours suivants il la voyait faire le ménage, chaussée de ces mules. Il imaginait la chaleur de ses pieds et l’odeur de transpiration. Plusieurs jours, il redescendit au sous-sol pour se masturber à l’aide de ces pantoufles puantes, allant même jusqu’à éjaculer dedans. Puis il nettoyait et remettait tout en place pour ne laisser aucune trace de ses méfaits. Il le refit une autre fois, et encore, et encore, il avait trouvé la technique pour ne pas se faire prendre.Un jour qu’il se masturbait, la minuterie de la lumière s’arrêta et il se retrouva dans le noir comme souvent. Le temps qu’il trouve le commutateur, un flash lumineux aveuglant crépita à plusieurs reprises, accompagné du bruit caractéristique esenyurt escort d’une rafale d’appareil photo. Sidéré et avant qu’il ait pu réaliser ce qui se passait, quelqu’un activa le commutateur électrique et la lumière revint. Sa queue en main, la pantoufle sur le nez, pantalon et slip sur les chaussures, la gardienne se tenait devant lui avec un appareil photo en main.Elle le toisait l’air furibond :« Alors c’est toi le pervers qui se branle dans mes affaires ? »Le premier instant de sidération passé, il essaya de bredouiller quelques mots d’excuse tout en reposant la pantoufle et en se baissant pour remettre son pantalon.« Non, ne bouge pas, reste comme ça ».Elle fit de nouveau quelques photos en rafale, puis appela quelqu’un. « Vous pouvez venir, je l’ai enfin attrapé ce chien ».Deux types arrivèrent, un black et un beur, l’air menaçant, l’un muni d’un poing américain et l’autre d’une batte de baseball.« Il va falloir que tu payes pour ça ». Les deux types s’étaient approchés de lui, l’un l’empoignant par le col et le projetant vers son compagnon qui à son tour le repoussa avec force vers le premier.Elle poursuivit :« Je vais te dire ce qui va se passer ; ils vont te dérouiller et tu vas te retrouver bite et couilles à l’air, la gueule dans ces pantoufles. Moi je vais aller porter plainte auprès des flics et du syndic. Je leur montrerai ces photos et je les publierai aussi sur internet. Ta vie va devenir un enfer ».Le type à la batte de baseball la faisait rebondir dans la paume de sa main, l’air menaçant, tandis que l’autre le maintenait fermement.Elle continua :« Mais tu peux encore éviter ça si tu fais tout ce que je te dis. Je dis bien tout, alors n’essaie pas de faire le malin car n’oublie pas que je sais où tu habites ».En panique de s’être fait prendre avrupa yakası escort ainsi et sur le point de se faire casser la figure, il esquissa quelques mots :« Non, non, je ferai tout ce que vous voulez. Je m’excuse, je suis vraiment désolé »Toujours menaçante, elle le questionna :« Tu as de l’argent sur toi ? Combien ? »Se baissant pour fourrager dans la poche de son pantalon, il prit son portefeuille qu’il ouvrit :« J’ai 70€ ».« Bien, tu me les donnes ».Pensant s’en tirer finalement à bon compte, il lui tendit les billets tandis qu’il s’apprêtait à remettre slip et pantalon.« Attends, je suis loin d’en avoir fini avec toi. Maintenant tu te déshabilles complètement ».Devant son air ébahi et incrédule, elle répéta :« Allez ! A poil ! »Il se déshabilla maladroitement sous leurs regards goguenards, trébuchant dans son pantalon qui lui entravait les chevilles, enlevant chaussures et chaussettes pour pouvoir s’en libérer, terminant par sa chemise. Il se retrouvait maintenant complètement nu face à eux.« Maintenant tu vas te branler comme tu le faisais en reniflant ces mules, je vais reprendre quelques photos ; tu ne jutes pas fais attention. »Il s’exécutait avec honte alors que l’appareil photo de nouveau crépitait ; les deux types étaient morts de rire.« Maintenant tu vas faire le chien. Tu te mets à quatre pattes, et tu lèves la patte sur ce mur, comme un chien qui pisse. Puis je vais envoyer la pantoufle au loin pour que tu la ramènes dans ta gueule. »De nouveau il fit ce qu’elle lui avait demandé, tandis que cette fois elle faisait une vidéo.« Voilà, c’est dans la boîte ; j’ai plus qu’il m’en faut ».Il attendait toujours à quatre pattes après avoir déposé la mule à ses pieds.« Mets ton nez dedans en gardant le cul bien en l’air et en écartant les jambes. »Elle vint se positionner derrière lui et lui décocha un coup de pied si violent dans les couilles qu’il hurla et tomba sur le côté, le souffle coupé en se tordant de douleur.« Ce soir à 22 heures, une voiture viendra te chercher devant l’immeuble. Tu as intérêt à être là. Je vais avoir besoin de tes services et tu pourras racheter tes fautes. Pendant que tu y seras, tu amènes 500€. »A suivre
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